9.4.09

Salon du livre 2009



8.4.09

Soirée Café de Flore



17.11.08

Soirée littéraire du 17 octobre 2008

J’ai bien failli être publié dans le dernier numéro de « Rue Saint Antoine», la revue du texte bref et de l’écrit court. J’avais envoyé une tranche de prose d’une dizaine de lignes intitulée : « dix lignes dix lignes dix lignes, ou la sonnerie du téléphone ». L’œuvre, initialement sélectionnée avait dû, au dernier moment, faire place à un inédit de Sagan découvert dans un vide-grenier, au dos d’une carte postale. Mais je ne perdais rien pour attendre.

Aussi ne fus-je point étonné de recevoir du directeur de la revue une invitation à lire un petit quelque chose, à l’occasion d’une soirée littéraire. « Samedi prochain, de vingt heures à minuit » était-il écrit. « Cette réunion organisée par le comité de lecture, sur les hauteurs d’Issy dans le grand appartement de l’ami Maxence, sera l’occasion de découvrir, après des prolégomènes gourmands, de courtes nouvelles et des poussières d’écriture avec leurs auteur(e)s en chair et en os. »


Ah c’est vous Carnassière ? Sur le forum « Mots dedans » tu as… on se tutoie, non ? Tu as du mordant et même parfois la dent dure.


Chérubin, joli pseudo, c’est votre second prénom, dites vous… il me semble que nous nous sommes déjà rencontrés.

Mais oui Séraphin, il y a deux ans à la remise du prix « Charcuteries en folie », où le vainqueur, celui qui avait gagné son pesant de boudin blanc, c’était toi… on se tutoie, n’est-ce pas ?


L’apéro-buffet est la première phase de la soirée, l’occasion d’une débauche de quiches, accompagnée d’une orgie de vin rouge et de boissons fortes pour élever la température ambiante. Suite au réchauffement de l’atmosphère, les banquises de timidité fondent… bientôt la glace est rompue, attention tout de même aux icebergs dans la conversation.


La trotteuse tourne trop vite, il est déjà temps de procéder aux lectures. On tire au sort l’ordre de passage, et comme toujours, il y a problème avec le premier : personne n’est candidat pour essuyer les plâtres. Personne sauf moi : je n’ai jamais le trac en public et aucune peur du ridicule. Je me porte donc volontaire. Il était écrit sur le courriel d’invitation : « chaque lecture doit durer huit minutes au plus. » Croyant bien faire, j’avais choisi plus court encore en interprétant une prose de trois mille signes : « La célébration de l’œuf au plat ». Plat ? Sûr qu’elle est tombée à plat ma brève, car personne ne pouvait croire dans l’assistance qu’au bout de quatre minutes j’en aie terminé. La chute, point d’orgue inattendu qui d’habitude amuse et déclenche le sourire, est arrivée trop tôt dans une bienveillante indifférence. J’ai dû dire : « ça y est, j’ai fini » pour que le public comprenne que ma prestation était terminée.


Il y a eu, dans ma foulée, du très bon et du plus banal. Mais vous n’espérez tout de même pas que j’en fasse la critique et que je distribue des sifflets ou des bravos aux vingt-neuf écrivainternautes qui sont intervenus. Bien trop fatiguant… et en plus, à chacun son truc, ça c’est le boulot du comité de lecture de « R.S.A », moi j’ai mon ego à dorloter.


Jean-Claude Touray (novembre 2008)

10.6.06

objets trouvés

Une patte de chat dans un sac de papier brun Une voiture de bois peint (qui roule) dans un vrai restaurant chinois Un piano dans le Pacifique. Contacter M.T. Lewis 01 45 86 0831. Pas de suite.

7.4.06

La vie du bacille

Des rumeurs courent la blogosphère : RZ36 serait en voie de disparition. Je lance ici un appel pour rappeler à l'existence le vaillant virus. Vos dons en nature peuvent être adressés à l'association de défense des bacilles. andré mora

3.4.06

Est-ce que quelqu'un a lu L'homme ralenti de J.M. Coetzee ?
Bernardo

1.4.06

Dark Side

Ce qu'il fait noir, ici ! Vous aimez l'obscurité, vous ? The sound of silence ?... Moi, je préfère la veilleuse allumée, et la petite voix blanche qui raconte des histoires...
Rolande Barthes